• NEW YORK, Déc. 04, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Tiziana Life Sciences, Ltd., une société de biotechnologie qui développe des thérapies d’immunomodulation révolutionnaires avec son candidat de développement principal, le foralumab intranasal, un anticorps monoclonal entièrement humain, anti-CD3, a annoncé aujourd’hui l’extension de son essai clinique de phase 2 évaluant le foralumab intranasal pour la sclérose en plaques progressive non active (SPMS). Les sites d’essai comprennent des institutions estimées dans le nord-est de l’État. États-Unis. (Traduction automatique). Communiqué de presse https://ir.tizianalifesciences.com/news

 

  • En étudiant comment les cellules immunitaires étaient capables d’influencer cette remyélinisation, des chercheurs de l’Institut du Cerveau, coordonnés par Violetta Zujovic, ont fait une découverte : chez les patients, les macrophages (des cellules immunitaires qui devraient nettoyer les débris de myéline et faciliter sa réparation)  présentent un dysfonctionnement métabolique.  https://institutducerveau.org 08/11/24

 

 

  • Cet implant sans fil pourrait révolutionner le traitement de la sclérose en plaques. www.science-et-vie.com, 05/11/24

 

 

  • Sclérose en plaques : un défaut dans la lecture des gènes mise en évidence chez les patients. 07 octobre 2024. www.insb.cnrs.fr

 

  • Communiqué de presse : Le tolebrutinib a permis d’allonger de 31 % le délai avant progression confirmée du handicap dans le cadre d’une étude de phase III menée chez des personnes présentant une sclérose en plaques secondairement progressive non active. 20 septembre 2024 www.sanofi.com.

 

  • Communiqué de presse :   L’étude de phase III PERSEUS évaluant l’efficacité avec laquelle le tolebrutinib permet de ralentir la progression confirmée du handicap, chez des patients atteints de sclérose en plaques primaire progressive, se poursuit et ses résultats sont attendus en 2025. 02/09/24  www.sanofi.com

 

  • Une étude récente, réalisée sur des souris prédisposées aux maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques (souris Th17), a montré que si elles consommaient du sel en excès, elles devenaient plus susceptibles de développer une forme plus agressive de leur maladie (Nature 2013). Afin de savoir si  une telle association entre excès de sel et gravité de la sclérose en plaques (SEP) existe aussi chez l’homme, le Dr Mauricio Farez et ses collaborateurs ont réalisé une étude clinique observationnelle publiée dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry. Les résultats observés montrent qu’une telle association existe aussi chez l’homme, ce qui fait donc suspecter une influence délétère du sel sur la SEP. Cette suspicion est renforcée par les constats observés chez la souris, mais cette étude ne suffit pas à déterminer formellement l’éventuelle causalité de l’excès de sel dans l’aggravation de la maladie. Elle devra donc être confirmée par d’autres travaux. 10 septembre 2014. Lire la suite de l’article:  www.vidal.fr

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