«Ce n’est que dans les années 1970 que les chercheurs ont commencé à étudier les aspects neuropsychologiques de la SEP en utilisant des groupes témoins de sujets en bonne santé pour comparaison. Les premières études ont démontré que le traitement de l’information et la mémoire étaient touchés chez les personnes atteintes de SEP.

Aujourd’hui, nous savons que la déficience cognitive légère est assez fréquente dans la SEP et peut être présente à tous les stades de la maladie. Nous savons que le handicap physique n’est pas toujours corrélé avec la déficience cognitive. Nous savons que la SEP peut affecter la mémoire, l’attention et la concentration, le traitement de l’information, les fonctions exécutives telles que la planification et la fixation de priorités, les fonctions visuo-spatiales et la fluidité verbale.Tout aussi important, les experts de la SEP sont devenus habiles à distinguer les différents facteurs qui peuvent être confondus avec des troubles cognitifs, tels que la fatigue, le stress, la dépression ou les effets secondaires des médicaments. Les professionnels de la santé sont également devenus plus subtils en ce qui concerne la façon dont ils discutent sur des problèmes cognitifs…(lire la suite)

 

Les fonctions cognitives et la SEP (MS 2013)

– Un document de 27 pages www.msif.org

– Source et liste des autres publications : Fédération internationale de la sclérose en plaques www.msif.org