(…)
Dans leurs travaux, ils ont observé les cas de 61 paires de jumeaux monozygotes dont un seul avait développé la SEP. “Bien que les jumeaux en bonne santé avaient aussi un risque génétique maximal de SEP, ils n’ont montré aucun signe clinique de la maladie”, explique Lisa Ann Gerdes, co-autrice. Ils ont voulu comprendre comment le système immunitaire de deux individus génétiquement identiques entraîne une inflammation importante et des lésions nerveuses massives dans un cas, et aucun dommage dans l’autre. (…).
-Lire l’article de Mégane Fleury www.pourquoidocteur.fr, 21/02/22.
- Source : Ingelfinger, F., Gerdes, L.A., Kavaka, V. et al. Twin study reveals non-heritable immune perturbations in multiple sclerosis. Nature (2022). https://doi.org/10.1038/s41586-022-04419-4, [Pdf->
https://www.nature.com/articles/s41586-022-04419-4.pdf], 23 pages.
Immune signatures of prodromal multiple sclerosis in monozygotic twins
PNAS September 1, 2020 117 (35) 21546-21556; first published August 17, 2020; https://doi.org/10.1073/pnas.2003339117
Articles qui peuvent aussi vous intéresser
08/10/2024
Nouveautés,Infos sur la recherche
ECTRIMS journée des patients
Le 20 septembre 2024, au Bella Center de Copenhague au Danemark, un…
07/10/2024
Nouveautés,Infos sur la recherche
Brèves sur la recherche
Sclérose en plaques : un défaut dans la lecture des gènes…
30/05/2024
Nouveautés,Infos sur la recherche
« Dans une dizaine d’années, nous pouvons espérer des traitements qui amélioreront les séquelles de la Sep »
Progrès dans le diagnostic désormais plus précoce, travaux sur les…