Vous pouvez vous aussi témoigner à l’aide du formulaire en lien de votre expérience.

Chaque situation est unique, personnelle …. (emploi, âge, état de santé, employeur, régime public, privé, etc.)

logo_temoignage1_rectangle-200.jpg

blanc_spce-19.jpg


Présentation :

Je m’appelle (prénom fictif) : Anne

Je suis : de sexe féminin

Mon âge actuellement : 52

La date de mon diagnostic SEP : 2002.

  • Mon emploi au moment où je l’ai dit :

Type de structure : employé et auto entrepreneuse

Nombre de salariés dans cette structure (environ) : 1000

La date (environ) : 2002.

Mon témoignage :

  • Pourquoi je l’ai dit :

Mon employeur de l’époque me semblait à
même d’entendre et de comprendre. nous étions en relation
professionnelle depuis plus de 10 ans… Quelle erreur… Il est devenu cynique, avec des remarques on ne peut plus déplacées. A la fermeture de l’entreprise nosus en étions à la deuxième action prud’hommale (la première l’avait reconnu responsable) et la deuxième action a eu le même resultat avec constatations de harcélement. Puis il y a eu licenciement, pas du tout lié à ces péripéties. j’ai depuis repris
une activité salariée depuis 2013 et là je refuse d’en parler à mon employeur. Par contre après 2 ans et un tri très sélectif j’ai décidé de prévenir les personnes partageant mon bureau.

  • Comment j’ai abordé le sujet :

J’ai profité d’une hospitalisation sans connexion avec cette pathologie, pour prévenir mes 4 collègues que ce diagnostic venait d’être fait. J’ai expliqué avec des mots simples les symptômes, les risques mais aussi tout mon espoir dans une possible mais lointaine guérison.

N’ayant que peu de symptomes et une évolution par poussées
rémittentes pour l’instant je n’ai pas été confrontée avec
l’obligation d’en parlé à ma hiérarchie et je ne souhaite pas le
faire.

  • Ce qui à changé après cette annonce :

Rien … c’est désolant, mais rien.

Pour terminer mon témoignage :

  • Si j’avais une recommandation ou un conseil à donner :

Ne parler de votre maladie qu’après avoir testé la retenue de la personne mise dans la confidence, en parler à sa hiérarchie en lui disant qu’il faut qu’elle envisage un jour à terme, peut être d’être confrontée à des “PROBLEMES” ne me semble pas opportun.

  • Un dernier mot ! :

Courage, battez vous, travaillez et vive la vie !


Anne nous vous remercions de votre témoignage.


blanc_spce-19.jpg

N’hésitez pas lorsque vous êtes devant un choix important à contacter une association qui connaît bien le handicap et à lui poser vos questions.

Votre délégation départementale APF

A consulter aussi le blog juridique de l’APF : http://vos-droits.apf.asso.fr.


blanc_spce-19.jpg
Retour à la rubrique des témoignages :
point_interrogation_plus_petit-2-2-23925-2.jpg